chatte sauvage apprivoisée

Nous sommes quelques amis à la terrasse d'un café. Un groupe de motards passent le rond point et vient se garer sur le parking non loin de la terrasse. les chromes brillent au soleil, les moteurs ronronnent , les garçons  vêtus de cuir souple,  virils, dégageant de la  puissance, m'attirent.

je  dis à mes amis que non seulement j'aime le rugissement  des moteurs, que ça me fait de drôles de choses dans l'estomac mais  aussi j'aime voir les motards dans leur combinaison de cuir, dissimulés sous leur casque coloré. Un gars de notre groupe me dit qu'il les connait et peut leur demander pour m'emmener faire un tour. ok je n'ai pas vraiment la tenue adéquate, mais c'est tentant.

Il s'approche d'eux. ils se saluent et tout en discutant se tournent vers nous. Il m'appelle et me fait signe de venir le rejoindre. Je suis un peu intimidée, que leur a-t-il raconté ?

Un des motards descend de son engin et, sans enlever son casque,   me demande si je veux aller faire une petite balade avec lui. J'accepte.  

le motard a gardé son casque et n'a pas relevé sa visière miroir, je ne vois pas son visage.  il est grand et mince je peux deviner ses fesses musclées moulées dans le jean en cuir. il m'invite à monter derrière lui me passe un casque et me demande de bien faire attention au pot d'échappement. je suis obligée de relever un peu ma robe pour pouvoir écarter les jambes et suis consciente de dévoiler  le haut de mes cuisses, peut être même voit-on mon string. j'ai le feu aux joues un instant et vite je me cache sous le casque.  

Je suis prête, il démarre, passe le rond point et dans la ligne droite  accélère brutalement, surprise je me trouve plaquée contre lui. je reste ainsi ma poitrine contre son dos et je l'entoure de mes bras. il sent bon le cuir mêlé à un parfum légèrement poivré.

Oh que m'arrive t-il ? je connais cette sensation, de légers frissons en bas du dos, ma chatte qui s'humidifie, le désir m'envahit , l'envie de découvrir ce corps sur lequel je m'appuie.

Nous avons pris la direction de la campagne et roulons tranquillement sur une petite route déserte. J'ai envie de poser ma main entre ses cuisses mais je n'ose pas, après tout je ne sais même pas qui il est !

transmission de pensée ? Il prend une de mes mains et la pose juste à l'endroit auquel je pensais.

Je caresse la bosse à travers le cuir, d'une main puis m'appuyant entièrement sur lui   et n'y tenant plus avec mes deux mains j'ouvre son pantalon. Il roule maintenant très doucement. Je me rends compte que lui aussi a envie, sa queue se dresse fièrement .  je la caresse de haut en bas, le bout est humide, je le fais tourner délicatement dans ma paume. mes mains tournoient autour de cette queue bien raide. Je mouille et me répand sur le siège. J'ai très envie qu'il me baise tout de suite.

il s'arrête dans un petit chemin en retrait de la route et coupe le moteur. nous descendons. il est face à moi mais n'enlève pas son casque, c'est un peu déstabilisant je me vois dans le miroir de la visière baissée. Il me relève la robe , fait glisser mon string et le met dans sa poche. Il me retourne et me fait me cambrer contre sa bécane. Je m'y appuie, écarte les jambes et tend mon cul. Je suis prête, je veux qu'il me prenne, qu'il me l'enfonce jusqu'à la garde. Il ne se fait pas prier, elle pénètre, force le passage des grandes lèvres pour aller se planter au fond de ma grotte. Tellement je suis mouillée  Il  glisse comme dans du beurre. Il se met à me besogner sans ménagement, de plus en plus fort, de plus en plus vite. ses coups de reins manquent de me faire perdre l'équilibre, mais il s'agrippe à mes hanches. Je pars  vers le plaisir, je vais jouir. Au même moment il pousse un grognement sourd, se crispe et décharge au fond de ma fente, il continue à bouger lentement, doucement  cette fois. Ses mains attrapent mes seins pour les caresser puis il s'arrête et me serre dans ses bras toute pantelante.  J'ai joui comme une folle, je me retourne et veut lui enlever son casque pour l'embrasser mais il refuse, disant que nous devons retourner auprès de nos amis. Il se réajuste et tourne la clé de la moto. Le moteur ronronne à nouveau, je remets mon casque, tire sur ma robe et m'installe derrière lui, repue, un peu de sperme coule le long de mes cuisses.

Nous sommes arrivés au rond point, ses amis sont prêts à repartir, il me dépose près de la terrasse du café, ses doigts effleurent ma joue, ma bouche, un doigt s'attarde, appuie un peu plus fort cherchant presque à se glisser entre mes lèvres,   puis il s'en va rejoindre le groupe de motards et ils démarrent ensemble en pétaradant.

Je m'assois, rêveuse, mon ami me fait un clin d'œil.

Peut être un jour m'expliquera-t-il qui est ce mystérieux motard.