chatte sauvage apprivoisée

         

Voici le récit de l'un de mes rêves :

Je fais une sieste, nue sur le canapé car  il fait très chaud.

je suis réveillée par des mains qui déposent doucement un bandeau sur mes yeux, me soulève la tête pour le nouer.

 je me laisse faire car je suis encore dans un demi sommeil. on  attache mes mains et mes pieds aux pattes du canapé je suppose 

 je me retrouve écartelée et ne peut plus bouger.

Pourtant je ne crie pas, je n'ai pas peur, j'entends des chuchotements, il y a plusieurs personnes je ne sais pas qui,  ils parlent très bas entre eux.

Ils  commencent à me caresser partout, je sens plusieurs mains et des lèvres qui se promènent sur mon corps, sur mes seins, mon ventre, ma vulve. tout en douceur, pas de brutalité, que du plaisir c'est très bon je mouille abondamment et gémis. Puis soudainement un homme me pénètre, je sens son sexe qui s'enfonce en moi  et me laboure, il ressort et vient danss ma bouche puis recommence. enfin je ne sais pas si c'est le même homme ou si c'est un autre. je ne vois rien et n'entend rien que des râles et de légers gémissements. pas une seule parole pour me rassurer.

Une bouche mordille mes tétons puis descend sur mon clitoris, la langue s'insinue fouineuse et caresse ma vulve. 

Je suis possédée entièrement, j'ai une queue dans la bouche,  une autre dans mon minou et des doigts qui s'aventurent dans mon petit trou.

Certains gestes sont tendres et d'autres beaucoup plus fermes, plus durs.

j'ai l'impression que le temps s'est arrêté, je gémis de plus en plus et me cambre, mon ventre va au devant de toutes ces mains, ces bouches, ces sexes  et je jouis ainsi sans savoir qui possède mon corps.  

Puis les halètements se font plus rapides laissant supposer que les hommes jouissent, je sens du sperme couler sur moi, il y a peut être une femme, il me semble entendre des petits cris féminins.

.et soudain plus rien. quelques bruits de pas, de vêtements, et une porte qui se ferme.  

je suis allongée sur mon canapé, nue, seule et attachée. je panique et ne peux m'empêcher de pleurer, après ces moments de volupté si intense, je suis abandonnée. les larmes innondent mon visage, le bandeau sur mes yeux est trempé.

 

j'entends à nouveau des pas, des mains se posent sur moi, me caressent, des lèvres se posent sur ma bouche et ouvre ma bouche pour y insérer la langue. je ne sais plus quoi penser

 je suis entre la colère et le plaisir.

les mains dénouent les liens et retire le bandeau.

tu es là devant moi, tu me souris et moi je pleure comme une idiote, puis je me mets à rire, j'ai eu si peur mais c'était si bon.

tu as voulu me faire une surprise. c'est réussi

 

Je me suis réveillée toute chose, les yeux humides, le minou aussi.

ce fut difficile de se rendormir

"Mes nuits sont plus belles que vos jours"