chatte sauvage apprivoisée

 Je suis  une gourmande qui apprécie beaucoup les câlineries, et j'ai un fantasme très ordinaire mais  si obsédant que parfois il se transcrit en rêve.

Quand mon amant me possède et quelque soit la façon,  mes mains fourmillent d’impatience de le toucher, ma bouche ne désire que le goûter.

Et il y a un endroit interdit qu’évidemment je ne pense qu’à atteindre. 

Ce rêve récurrent m’envahit, décuple mon désir. Je vais vous le décrire :

Mon amant se repose. Je m’approche de lui en enlevant mes vêtements pour ne garder que les bas et le porte-jarretelles. Il me regarde mais ne dit mot. 

Je me penche pour mordiller ses lèvres, entrouvrir sa bouche avec ma langue tandis que mes mains ouvre sa chemise et se frayent un chemin sur son torse. Il se crispe un peu car est très sensible à cet endroit.

très doucement, elles descendent et remontent tout en décrivant des petits cercles autour de sa taille, sur son ventre, ses seins, son nombril. Je me frotte, j’écrase ma lourde poitrine dénudée contre lui. Ma bouche remonte vers son oreille et grignote le lobe si tendre.

Je n'ai qu'un but en tête mais je prends des détours pour mieux le déguster.

Je le sens frissonner, il veut bouger, me toucher.

« Chuuut !  s’il te plait pour une fois laisse moi faire, laisse toi aller »

Mes mains massent, palpent ce corps désiré. Ma bouche quitte son visage et prend le chemin parcouru par mes doigts.

  la chaleur au creux de mes reins monte et mon minou s’humidifier.

J’ouvre son pantalon, glisse mes mains sous le caleçon et fais descendre ses vêtements le long de ses jambes.

Je vois qu’il n’est pas insensible, sa queue frétille.

J’ai très envie de la prendre, la cajoler, l’apaiser et m'apaiser moi aussi.

Non... pas tout de suite !

Je n’ai pas encore tout exploré  et il y a cet interdit que je désire ardemment atteindre.

Mes mains continuent leurs balais de caresses, de ses cuisses à son torse, virevoltant autour de cette belle queue arrogante, l’effleurant parfois pour lui faire un petit coucou.

Je le sens s’impatienter, sa respiration se fait plus rapide. La mienne aussi.

N’y tenant plus, tandis que ma main l’encercle et que l’autre presse tendrement ses bourses, je remonte vers ses pectoraux pour atteindre les tétons dardant pour me narguer. Avec ma langue je les titille l’un après l’autre, sous l’effet de surprise il tressaille mais ne me repousse pas.

Je les suçote, les tète avidement. Ils durcissent sous l’effet de ma succion.

J’en rêvais depuis si longtemps, mon excitation est à son paroxysme.

Je lèche en ronronnant pendant que mes mains s’activent.

Sa queue grossit, grandit, mon minou mouille abondamment, je me trémousse.

Alors je m’empale sur lui et le chevauche.

Maintenant il peut faire courir ses mains sur moi. Il est en moi, il me comble.

Et passionnément, rassasiée,  je savoure ses tétons.