chatte sauvage apprivoisée

Encore un de ces rêves étranges qui me réveille,  troublée, avec une douce moiteur entre les cuisses :

Je me trouve dans un lieu public,  tout est flou. Je suis avec plusieurs personnes et nous attendons. Quoi  ? j'en sais rien et qui sont ces personnes je n'en sais rien non plus.

Je vois certains détails comme ma tenue par exemple : une petite jupe qui retombe en corolle sur mes cuisses + un top et c'est tout. Il y a  un homme derrière moi qui me parle aimablement.  Il ne m'est pas inconnu mais je ne vois pas son visage, sa voix m'est familière alors je lui réponds et ainsi nous bavardons doucement en attendant.

Quelques minutes plus tard la file d'attente se resserre et je sens l'homme tout contre moi, son souffle dans mes cheveux. Je ne sais pas ce qu'il m'arrive mais  j'ai envie de me rapprocher encore, je me cambre contre lui. il se colle à moi, je peux sentir son parfum frais et discret qui me rappelle les pinèdes au bord de l'océan. Sa main glisse sous ma jupe et vient se poser sur mes fesses, il me murmure  que je suis une vilaine fille de sortir ainsi sans culotte avec une jupe aussi courte et que je mériterai une fessée.

Oh oui ! mon corps répond instinctivement et se tend encore plus.

Alors prenant ce mouvement pour une acceptation sa main s'enhardit. Il me pince doucement, comme un  palpé roulé,  toute la surface des lobes puis il glisse jusqu'à ma vulve et fait de même avec mes lèvres et l'intérieur de mes cuisses. J'ai peur que l'on remarque notre manège mais c'est tellement agréable et excitant que je ne peux qu'écarter les jambes pour qu'il puisse avoir accès plus facilement. il a relevé ma jupe dénudant presque entièrement mes fesses. Cela m'est maintenant indifférent, je ne crains plus la réaction des personnes autour de moi, je lâche prise, baisse les yeux et me concentre sur cette caresse. Il est tout contre moi et je peux sentir une proéminence se presser contre ma hanche. Je voudrais qu'il me prenne là maintenant peu importe la foule, ses doigts me pénètrent et il entame un lent massage. Il chuchote, sa bouche contre mon oreille,  me dit de ne faire aucun mouvement, de retenir mes gémissements, que je suis sa salope.

C'est encore plus stimulant d'être ainsi, stoïque, à sa merci. Je referme mes cuisses tremblantes pour emprisonner sa main jusqu'à ce que monte cette vague étourdissante. Il retire ensuite ses doigts et les porte à sa bouche.

La file d'attente recommence à avancer, je fais quelques pas , chancellante.

Je suis allongée seule dans mon lit, les genoux repliés en boule un peu comme une grosse chatte.

Etourdie, j'ouvre les yeux il fait encore nuit,  j'ai l'impression qu'une légère brise venant des pinèdes caresse ma peau nue.

"Mes nuits sont plus belles que vos jours"

La chaleur étouffante me réveille, le temps est à l'orage, la température de la  nuit n'a pas baissé et j'entends des grondements de tonnerre au loin.  je  suis en nage il faut que j'aille boire, me rafraichir, et pourquoi pas prendre une douche cela me ferait du bien et peut être je réussirai à m'endormir. J'allume la veilleuse et me lève.

IL  est là,  l'Homme, le Mâle

Lui aussi recherche la fraicheur, IL  semble dormir paisiblement, allongé à même le sol.

je m'approche et le regarde, sa poitrine se soulève doucement à un rythme régulier, la sueur perle sur ses épaules. Je m'allonge à ses côtés et essaie de caler ma respiration sur la sienne. tout en l'admirant j'effleure cette peau légèrement dorée  du bout de mes doigts

je vais à la cuisine chercher un jus de goyave , j'en bois un grand verre et une envie s'insinue en moi.  je ne veux pas vraiment le réveiller mais le surprendre, jouer avec ses sens. Je retourne sans faire de bruit auprès de lui, je trempe mon doigt dans le jus de fruit et goutte à goutte  le verse dans le creux de ses reins. il frissonne à peine et continue à dormir alors je continue ce petit jeu et je verse des gouttelettes tout le long de sa colonne vertébrale, le jus descend lentement dans le sillon de ses fesses.

Je ne peux résister et  commence à laper cette peau humide, ma langue se fait caresse et suit le trajet du liquide rosé. il commence à bouger et se retourne pour se mettre sur le dos, les bras et les jambes en croix. quel spectacle magnifique, ce corps offert,  peau souple et ferme. cette nudité impudique m'échauffe.  Je recommence mon petit jeu sur sa poitrine, sur son ventre. le liquide coule dans le nombril et descend jusqu'à sa verge en demi érection. Je reprends ma caresse avec la pointe de ma langue, IL tressaille et de légers frissons parcourent son corps, le rythme de sa respiration s'accélère, le mien aussi.

Je bois un peu de jus de fruit, le garde dans ma bouche et je prends entre mes lèvres cette  queue provocante. il a un petit sursaut et ses mains se posent sur ma nuque.

La fraicheur acidulée  du jus mêlée à la douce saveur de sa peau est un délice.

Je la sens grandir contre ma langue alors je l'enroule autour de cette belle tige bien dure et fais ainsi des va et vient.

Tout à coup IL se relève, je crois qu'IL est bien réveillé. IL ouvre de grands yeux, me regarde un peu étourdi, étonné de me découvrir, et d'un geste il me retourne sur le sol, écarte mes jambes avec  ses genoux, prend la bouteille de jus de goyave et verse abondamment sur mon ventre, sur mon minou.

IL enfouit ensuite sa tête entre mes cuisses et bois à ma source. sa langue s'insinue, curieuse, fouineuse, gourmande, longtemps. Jusqu'à ce que, vaincue, conquise,  je me rende avec volupté contre sa bouche.

 IL se redresse un peu et me pénètre lentement, jusqu'au fond, se retire entièrement, me pénètre à nouveau. IL fait ainsi plusieurs fois, IL va me rendre folle, c'est si bon.

Je relève mes jambes pour mieux  le sentir alors il reste en moi,  enfin mon minou l'engloutit comblé.

Et  en rythme avec les roulements de tonnerre se rapprochant IL se met à bouger.

Nos corps ne font plus qu'un  accompagnant  l'orage qui est là maintenant.

"Mes nuits sont plus belles que vos jours"

Elle s’endort dans des draps de satin

Son corps nu caressé par l’étoffe

Le souffle régulier soulève sa  poitrine blanche

Un léger sourire illumine son visage

Elle se cambre et soupire

Quel rêve soudain l’anime ?

Elle est allongée dans des draps de satin

Chatte indolente elle s'abandonne

Sa tendre voisine la caresse

Ses doigts glissent sur sa peau

Visitent les recoins de son corps

Les collines, les vallons,

Pétrissent ses douces mamelles

Pincent délicatement ses tétons

Ecartent ses cuisses, 

Entrevoir son trésor

Penche sa tête et s'approche,

Découvrir sa grotte

Des gouttes perlent  sur sa toison 

Poser sa bouche

et lèvres contre lèvres

Butiner ce miel scintillant

Elle se cambre et soupire

Chatte langoureuse

Elle ronronne et s'étire